D’après les affiches des services des vocations, c’est en se reconnaissant dans le visage d’un prêtre beau, jeune, dynamique, légèrement barbu, à l’aise avec les réseaux sociaux, dans une chasuble un peu tradi, qu’un jeune trouverait l’inspiration ou le courage d’une vocation sacerdotale.
Le monde de la publicité est loin de la réalité.
C’est plutôt, en vérité, le Christ pauvre qu’il faudrait représenter en grand. C’est le silence de l’adoration qu’il faudrait faire entendre. Ce sont des personnes un peu désorientées par la vie et des pauvres qu’il faudrait mettre. Il faudrait peindre ce qu’est une civilisation qui ignore l’Amour absolu, sa présence, son appel continu, son cri à la justice et à la vie…Continue reading →


